Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (49)

Alors qu’elles sont allées avec Virginie remplir pour la première fois un contrat Arum et Ayu pour la deuxième soirée avec les clients qui ont payé 20 000 € à chacune d’elles et montrent un spectacle sexuel avec les trois escortes boy présent eux aussi.

Avant d’entrer dans la lumière, elles s’enduisent le corps d’huile, Arum s’allonge sur un transat et sa sœur commence à se lover dans tous les sens sur le ventre, les seins et le visage de sa jumelle.
Au passage les mains s’égarent sur les seins et dans les minettes de chaque petite.
Des bouches rencontrent des bouches. Elles vont même jusqu'à se frotter leurs chattes l’une contre l’autre. Leurs visages changent et le plaisir qu’elles prennent devient évidant.
Arum vient chercher Boris et Ayu m’amène dans la lumière.
Elles nous font coucher sur deux des transats côte à côte. Elles commencent leur massage sur nos corps.
Lorsqu’elles le décident Anne protège Boris qui bande comme un taureau. Ayu me prend par la main et me place sur Boris.
Dos à Boris, je l’enjambe, mes mains sur les accoudoirs. Je m’empale.
Les turbans face à moi toujours imperturbables ont une vue exceptionnelle sur ma vulve rasée. Ils voient le sexe de Boris entrer et sortir de mon intimité.
Boris module la vitesse de son sexe, un moment lent et un moment rapide.
Son traitement me fait de l’effet et la femme fontaine qui est en moi, apparaît.
Mon sexe expulse des jets de liquide sur le transat et sur leur nouveau tapis.
Je vais leur coûter cher en pressing.
Les clients sont médusés. C’est certainement la première fois qu’ils voient une femme qui leur expulse de la cyprine en grande quantité vers leur figure heureusement sans les toucher.
Pendant ce temps, Arum a amené Adonis sur les transats et Ayu Yvan sur un autre.
Que ce passe-t-il entre Adonis et arum, les regards, les mains qui se frôlent, les choix me font penser que dans les jours prochains, Sindy peut bien se retrouver avec un beau-papa pour s’occuper d’elle et pallier la couardise de son père biologique.


Pourquoi pas pour notre petite, un peu de bonheur avec un homme comme Adonis me ferait énormément plaisir ?
Pour le moment, elles se lovent sur chacun de nos amis et tout étant prêt elles prennent la même position que la mienne.
Trois mâles, trois vulves perforées. De chaque côté de moi les poupées s’activent sur leurs étalons.
Je commence à tétaniser. Je pose mes jambes au sol et me désengage de la bitte qui me remplit. Je me retourne et je mets mes jambes repliées de chaque côté du sexe que je convoite dans mon cul.
Boris présente son vit à ma rondelle et je me pénètre.
Je sens le ventre et les jambes de mon mâle mouiller de mes sécrétions.
Les filles ont suivi la même manœuvre, nous présentons à nos commanditaires trois anus défoncés par trois barres tendues.
Nos copains nous font jouir formidablement.
Quels hommes, quelle santé, quelles chances nous avons d'être baisers par de tels boucs.
Ils nous liment pendant une demi-heure et les trois hardeurs nous abandonnent, enlèvent leur protection et ensemble arrosent nos fesses de leur foutre.
J’ai tellement joui pendant cette scène que je plonge dans le néant quelque temps.
Je sens Boris essayé de me repousser, je reprends mes esprits.
Je m’assieds sur le bord de transat. Je vois le salon, nos clients sont partis.
Nous sommes entre nous.
Arum vient m’embrasser amoureusement, elle est suivie par ma petite tigresse Ayu.
Je vais paraître égoïste, mais au fond de moi, je suis contente pour Arum alors que si le même amour s’était dégagé entre Adonis et ma petite Aline, je dis bien Aline et non Ayu, j’aurais certainement été jalouse et je me serais battu contre ce bel étalon pour la garder.
En fait, nous nous embrassons, les uns les autres satisfait de la prestation que tous les six, nous avons fournie aux turbans.
Je me retourne, il est arrivé, fidèle à lui-même dans sa vareuse blanche.
Retour dans nos cabines.

Comme hier mes puces entraînent les escortes boys dans leur cabine !
J’ouvre la porte de la mienne.
Charif comme hier est derrière moi.

• Excuse-me !

Il tourne les talons et par dans la coursive.
Déçu, je vais prendre mon bain.
J’ai mis des sels dans l’eau et j’apprécie la douceur sur mon corps.
J’allais m’assoupir dans ce bain d’eau savonneuse très doux quand l’on frappe à ma porte.
Rapidement je sors de l’eau et passe un peignoir.
J’ouvre. Il est là tout sourire.
Sans que je l’invite, il entre, pose sur le sol, une mallette et s’approche pour m’embrasser comme j’ai tant aimé hier.
Il enlève mon peignoir et me projette sur le lit.
En enlevant ses affaires, mon bel amant empli de prévenance qu’il était vient de se transformer en mâle viril.
Il m’empoigne et me met sa verge au fond de la gorge.
Dans son anglais parfait, j’ai le plaisir d’entendre.

• Avale salope.
Je t’ai vu derrière la vitre sans tain ou je surveillais vos ébats et j’ai vu que tu es une belle pute qui adore se faire enfiler !

D'abord surprise par le changement de comportement de mon amant, rapidement j’apprécie son ardeur à vouloir faire de moi sa chienne.
Je me retrouve ballotté dans tous les sens. Je me retrouve transpercé par un sexe bien bandé.
Il quitte mon sexe pour immédiatement perforer mon cul. À un moment, il s’assoit sur le bord du lit, me fait coucher sur ses genoux et m’administre une fessée en me disant que je l’avais trompé avec des hommes en ruts et que je mérite d’être punie.
Depuis ma plus tendre enfance, personne ne m’avait administré une telle fessée, mais ce traitement a commencé à me faire de l’effet et j’ai senti ma chatte commencer à évacuer les jets que tu aimes à boire.
Quand-il a senti le liquide coulé sur ses genoux et ses jambes, il a redoublé ses claques sur mon postérieur qui devait être rubicond.

• Mais elle m’inonde cette belle truie.


Il me laisse tomber sans ménagement sur la moquette, me prend la tête.

• Nettoie.

Je m’agenouille et attaque sa toilette. C’est la première fois que je lape mes sécrétions. J’aime beaucoup.
Lorsqu’il se trouve assez propre, il me relève me fait asseoir sur son sexe toujours bandé depuis ses premiers assauts.
Chaque fois que mes fesses redescendent sur ses cuisses une douce douleur irradie mon postérieur.
Ce traitement fait l’effet escompté et je l’inonde de nouveau.

• Mais you impossible, elle recommence, elle en veut encore.

Je l’embrasse voracement afin que je le pardonne.
Subitement l’homme que j’ai connu hier réapparaît et nous finissons nos ébats dans la douceur et le plaisir.
D’un coup il éjacule dans ma chatte. Je sens ses jets inonder ma vulve.
Une petite lumière s’allume dans mon corps, je défaille.
Il tombe en arrière, sur le lit, je le suis sur sa poitrine.
Il me caresse le visage, les cheveux avec sa main. Il m’embrasse le bout du nez.
Puis mes lèvres dans un baiser langoureux.

• Tu as oublié de me dire, dans la chaleur de l’étreinte, tu étais bien protégée.
• Oui, ma biche, tous et toutes pendant les deux jours. Je voulais simplement que tu ressentes ce que la bite de Charif représentait pour moi à ces moments-là, si tu passes ta main, j’en mouille encore. Rarement un homme m’a transporté vers des sommets comme ceux que nous avons atteints.
• Tout à l’heure, j’ai évité de t’interromps lorsque tu me parlais de l’amour que ma petite Anne porte à son Adonis étant contente qu’Aline te soit restée fidèle, tu oublies qu’Anne a percé mon cœur et sans ménagement tu m’annonces qu’elle est amoureuse.

Virginie me prend dans ses bras et me berce.

• Excuse-moi, je suis égoïste, je vieillis et jamais l’idée qu’une jeune fille s’éprenne encore de moi alors je crois que j’ai peur de me réveiller de ce rêve que nous vivons surtout grace à toi.

• Surtout soit sereine, j’aime Anne et je veux surtout son bonheur même s’il passe par son Adonis.
• Je reviens à notre voyage.
Je te rappelle que je viens de baiser avec Charif et que je récupère.

Allons prendre un bain. Nous-nous levons et retournons dans l’eau, que j’ai quittée lorsque Charif est arrivé.
La température est aussi élevée et la mousse toujours aussi importante, mon amant me fait voir qu’un système de thermostat maintient l’eau à la même température et qu’un système de pompe alimente l’eau en permanence de savon.
Il me fait mettre debout et me lave intégralement.
Il s’attarde sur mes fesses qu’il a maltraitées et qui portent toujours les traces de la punition qu’il m’a fait subir.
Nous-nous prélassons, nous séchons et Charif remet son uniforme.
Il doit me quitter, car il a encore des consignes à donner.
Avant de partir, il m’explique que les clients lui font entièrement confiance pour organiser ces soirées. Il fera donc encore appel à notre organisation dès qu’il faudra les satisfaire.
Il souhaite que je sois toujours présente. Je lui explique que c’est facile et qu’il lui suffit qu’ils disent le nombre de filles qu’ils souhaitent faire venir et qu’il faut qu’il ajoute, j’aimerais que Valérie soit dans le groupe.
Nous-nous embrassons et il me quitte.
Lorsque je suis seule, la mallette qu’il a posée près du lit attire mes yeux.
Je l’ouvre et aux stupeurs un grand nombre de liasses de billets la remplissent.
Un mot accompagne ces liasses.
• Les clients ont été satisfaits par leur soirée !
Ils vous souhaitent bon retour et vous offrent ce petit supplément de cinq fois mille euros pour chacune d’entre vous.
Bon retour.

Je ferme la mallette et traverse le couloir pour rejoindre les bébés.
Elles sont seules, les hommes sont partis. Elles sont dans la baignoire et s’amusent à s’asperger.
Je sors les liasses de billets et les poses en trois tas sur le lit.
J’appelle les jumelles et leur explique que grâce à leur travail, elles ont gagné une prime de mille euros par clients donc cinq mille euros.
Elles prennent, les billets Arum les sentent, Ayu les embrasses.

• Vous voyez que vous avez bien fait d’accepter de travailler avec nous.
Vous allez pouvoir avoir une vie très captivante.
Merci mes cœurs, vous avez été parfaite.

Nous retournons vers leur baignoire et c’est là que le sommeil nous prend.
Au matin, après un dernier déjeuné en mer avec les escortes boy, nous remontons dans la navette.
Nous nous retrouvons sur le quai de Saint-Tropez, une moto nous attend.
Je lui confie la mallette. L’homme casqué redémarre, notre argent va bientôt être en lieu sûr.
Virginie, Anne et Aline, sont revenus sur le plancher des vaches.
J’accepte que les jumelles gardes les cinq mille euros de grattes bien gagnées pour se faire des petits plaisirs.
Le voyage du retour, c’est fait sans encombre.

• Tu es gentille, mais comment s’est passée la séparation d’Anne et d’Adonis ?
• Tu me connais, pour éviter les pleurs de notre petite, j’ai sonné Charif pour qu’il vienne me voir.
• C’est bien pour toi mais Anne.
• Je lui ai expliqué la situation et il s’est arrangé pour que nous prenions une navette plus tôt qu’eux.
• Et toi avec Charif ?
• Il avait sa casquette sous le bras…

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